ENVIRONNEMENT
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Sauvons le site du Bois du Roi : alerte à la mobilisation générale !
Le bois du Roi situé sur les communes d’Ormoy Villers et Perroy les Gombries est visé par un projet de centre d’enfouissement technique de plusieurs milliers de tonnes de déchets mené sous la houlette de l’entreprise Picheta-Cosson. Ce projet de décharge masqué sous le nom et la présentation d’un Ecopole va compromettre inéluctablement la richesse faunistique et floristique de ce site classé en zone naturelle écologique et floristique ( ZNIEFF) de type 1 et partiellement en zone de protection spéciale ( ZPS). Le site du Boi du Roi jouxte une zone Natura 2000 et constitue un formidable réservoir de biodiversité et corridor écologique (massif des trois forets et bois du Roi). Bien entendu le porteur du projet nous explique que son projet de centre d’enfouissement n’a aucun effet néfaste sur toute la faune et la flore et qu’il sera même bénéfique. !!! Mais alors pourquoi mettre en route projet de schéma régional des continuités écologiques ? Il n' y a qu'à multiplier ce type de projet dans l'Oise!!!
Sur ce site ,nous citerons par exemple : la véronique en épis ( espèce végétale inscrite sur la liste rouge régionale), l’engoulevent d’Europe, (espèce rare citée à l’annexe 1 de la directive oiseaux), la canche précoce et le carex des sables ( plantes assez rares), le lézard des souches et des murailles, le rougequeue à front blanc, l’ephippigére des vignes, le pic mar , le pic noir.....
En 1993 la préfecture de l’Oise a exclu de la zone de recherche en silice le secteur d’Ormoy Villers en raison de la qualité environnementale du bois du ROI…
L’association Valois Environnement se bat pour empêcher le monstre d’attaquer ce site remarquable et bien entendu contre la volonté des maires de Peroy les Gombries et Ormoy Villers.
LE ROSO a attaqué cette année au tribunal administratif, le PLU de Peroy les Gombries donnant le feu vert à ce projet et se profile maintenant l’enquête publique sur la commune d’Ormoy Villers pour les mêmes motifs sur la révision simplifié du PLU ( enquête du 3 septembre au 3 octobre prochain). Bien entendu sera attaquée la future délibération du PLU de Ormoy Villers au tribunal administratif et l’arrêté préfectoral d'exploiter.
D’ici ce futur combat juridique, va s’enclencher une mobilisation générale sur le terrain et médiatique de grande ampleur. Les élus de tous les environs vont être alertés. Un combat de la même ampleur que celui de Verberie se prépare.
N’hésitez pas à faire passer ce message et en parler autour de vous….
Ormoy-Villers : un véritable succès.
Un peu plus de 300 personnes, des associations de tout le département,
interventions des présidents du ROSO (Didier Malé) et de Picardie
Nature (Patrick Thiery), la présence et l'intervention d'élus :
- Fabrice Dalongeville (maire d'Auger St Vincent, conseiller au PNR,
conseiller régional)
- Jérôme Furet (Conseiller Général Crépy-en-Valois, conseiller au PNR)
- Bertrand Brassens (Conseiller Général Compiègne Sud-Est, président du CAUE)
Diaporama :
Article du Parisien
Et ... une video
ACTUALITÉ DE L'ENVIRONNEMENT DANS L'OISE
Défendez la Butte des Zouaves : un collectif, qui regroupe
2 collectivités locales et 3 associations de défense de l'environnement,
a mis en ligne une pétition dans ce but, que vous trouverez à cette adresse :
http://www.mesopinions.com/petition/nature-environnement/defendez-butte-zouaves/13449
ACTUALITÉ DE L'ENVIRONNEMENT DANS L'OISE
Si comme nous, vous êtes inquiets pour l'avenir des forêts...
vous refusez la transformation de nos forêts en forêts " industrialisées" qui doivent toujours
"produire propre",... vous êtes préoccupés par la diminution continuelle du nombre de
"grands cervidés"...vous voulez vous engager dans la défense des biocorridors et la
protection des espaces encore naturels ... PLUS D’INFO : http://www.oise-nature.com
MANIF A COMPIEGNE OPERATION FORET MORTE - LE SAMEDI 25 AVRIL 2015
DEVANT L'HOTEL DE VILLE DE COMPIEGNE
Deux Français sur trois opposés aux fermes-usines
1Par Eric de La Chesnais Mis à jour le 12/06/2015 à 07:54 Publié le 12/06/2015 à 06:00
Un système de traite par rota tandem. Crédits photo : © Jim Young / Reuters/REUTERS
Le nombre de fermes géantes, en lait, porcs et volailles ne cesse de croître pour réduire les coûts. Mais elles suscitent une forte opposition auprès de la population.
Un sondage Ifop effectué entre le 14 et 17 avril dernier auprès d'un échantillon d'un millier de personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, montre que 68 % des Français sont opposés aux fermes usines. «Face à la multiplication du nombre des exploitations géantes, le débat est aujourd'hui ouvert sur l'évolution du secteur agricole, commente l'association Agir pour l'environnement, qui a commandé ce sondage. Tandis que l'argument de massifier les élevages sur un site unique est soutenu par les uns, d'autres dénoncent les limites de tels élevages».
Pour les partisans de tels projets il s'agit d'améliorer la compétitivité des exploitations par des économies d'échelle en concentrant un maximum d'animaux dans un même bâtiment d'élevage car, techniquement, la course au gigantisme n'a plus de limites. Outre la ferme des 1000 vaches qui attire tous les regards dans la Somme, il existe un élevage nettement plus important en Indre-et-Loire, à Monts, avec 2200 laitières. Toujours dans le milieu des bovins, on trouve en Creuse une ferme de 1000 veaux. Des fermes qui sont nettement au dessus de la taille des 60.000 exploitations laitières de l'Hexagone. Celles-ci comptent en moyenne 53 vaches.
La course à la taille critique concerne également d'autres productions que celles du lait ou la viande bovine. Le porc, en raison d'un gabarit plus réduit, est plus en avance dans ce domaine. Ainsi, une exploitation regroupe 23.000 cochons à Trébrivan (Côtes d'Armor) et une autre 12.000 à Saint-Symphorien (Gironde). Enfin dans la volaille, où il est encore plus facile de regrouper les animaux, un élevage abrite 250.000 poules dans la Somme. «Cette course au gigantisme se fait au détriment de fermes de taille plus modeste tout en réduisant les paysans au simple statut de salariés corvéables à merci», indique l'association.
Pour l'instant, leur nombre est limité. Il n'y a dans l'Hexagone qu'une dizaine de fermes dont le cheptel laitier serait supérieur à 300 vaches. Mais les projets fusent, dont l'un de plusieurs milliers de vaches dans le Morbihan.
Voir également :
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/fermeture-vaches-971.html
ONDE : UN NOUVEL OUTIL POUR SUIVRE ET COMPRENDRE LE NIVEAU D'ÉCOULEMENT DANS LES RIVIÈRES : http://www.onema.fr/ONDE-l-observatoire-national-des-etiages
- 9 novembre 2015 -
Aujourd’hui, dans un contexte de changement climatique, les périodes d’étiages risquent d’être plus longues et sévères. Les suivre et mieux les comprendre devient un enjeu prioritaire pour limiter leurs impacts sur la biodiversité aquatique et pour réguler les activités humaines.
ONDE, l’observatoire national des étiages
L’observatoire national des étiages regroupe les informations recueillies sur plus de 3 300 stations d’observation sur le territoire métropolitain, soit en moyenne 36 par département. Il a pris le relais dès 2012 du dispositif ROCA (réseau d’observation de crises des assecs) qui avait été créé après la sécheresse de 2003.
Le dispositif Onde est simple. Deux types de suivis sont menés :
De mai à septembre, les agents de l’Onema évaluent visuellement l’état d’écoulement du cours d’eau : écoulement de l’eau visible, présence d’eau mais écoulement non visible, assec. Ce suivi dit « usuel » est réalisé autour du 25 de chaque mois. Les données, recueillies aux mêmes périodes chaque année, permettent de réaliser des chroniques d’observations avec comme objectif, par exemple, l’estimation de l’intensité des étiages estivaux d’une année par comparaison avec les années antérieures.
En cas de situation de sécheresse, un suivi complémentaire peut être mené à tout moment sur l’ensemble du réseau départemental ou sur un bassin versant particulier jugé sensible. Ces données, transmises au préfet et à la direction départementale des territoires, sont une aide à la décision de prendre ou non des arrêtés de restriction d’usages.
onde.eaufrance.fr est une nouvelle interface du service d’information Eaufrance
Retrouvez :
Les autres sites du service d’information Eaufrance sur eaufrance.fr
Voir aussi :
L’impact de la chaleur sur l’eau et les milieux aquatiques
Des débits de rivières sous surveillance
Qui menace qui ?
Le projet d’urbanisation, ou les jardins du chateau ?
Belle sémantique d’inversion des valeurs, ou humour volontaire ?
La Payelle polluée par la station d’épuration d’Estrées-Saint-Denis
Cindy Belhomme | 22 Janv. 2016, 16h27 | MAJ : 22 Janv. 2016, 16h27
Rémy. Le ROSO a déposé une plainte pour pollution généralisée de la Payelle. Une importante présence de boues de couleur marron sature le lit de cet affluent de l’Aronde depuis la mi-décembre. Des filets de couleur rouge sont aussi visibles. (ROSO.)
Des boues marron en surface de la Payelle. Il n’en fallait pas moins pour que le Regroupement des organismes de sauvegarde de l’Oise (ROSO) saisisse la justice. Il a déposé une plainte le 8 janvier pour pollution généralisée de la Payelle, un affluent de l’Aronde qui traverse les communes de Rémy et Estrées-Saint-Denis.
« Nous avons pu constater des matières fécales en transit et une saturation du lit de la Payelle, explique le ROSO dans son rapport. Ces doses journalières ou hebdomadaires sont stockées tout au long du parcours, notamment dans la traversée de Rémy avec des couleurs marron et des filets rouges, qui peuvent laisser imaginer toutes pollutions chimiques ou pharmaceutiques. »
Didier Malé, le président du ROSO, explique que cette pollution « provient du dysfonctionnement permanent de la station d’épuration d’Estrées-Saint-Denis ». Celle-ci doit être démolie dans quelques mois, puisqu’une nouvelle va ouvrir ses portes en mai, à Rémy, pour prendre en charge les eaux usées de six communes. « Ce n’est pas une raison pour que la commune et son exploitant, Veolia, ne se conforment pas à la réglementation. Cette pollution déposée empêche toute vie aquatique, perturbe gravement l’écoulement des eaux de pluie, et est dangereuse pour la population riveraine », s’insurge Didier Malé.
Les services de l’Etat ont envoyé fin décembre une mise en demeure à la mairie d’Estrées-Saint-Denis. Une réunion s’est tenue jeudi matin à ce sujet. « Un appareil va être installé à la sortie de la station d’épuration pour prévenir le passage de boue, confie Charles Pouplin, le maire (SE) d’Estrées-Saint-Denis. Si malgré cela, le phénomène continue, nous nous sommes engagés à tout nettoyer.D’ailleurs, lorsque la station d’épuration sera détruite, la partie bétonnée de la Payelle sera nettoyée jusqu’à Rémy. » La sous-préfecture prévoit d’organiser une réunion si l’exploitant et la commune manquent à cet engagement. Didier Malé annonce cependant vouloir distribuer des tracts aux habitants des communes concernées. « Ces gens payent leur assainissement or le service n’est pas rendu. »
En 2011 déjà, le ROSO avait déposé une plainte pour pollution, suite à la présence d’une mousse suspecte relâchée par la station d’épuration de Rémy, qui avait subi une avarie.
Nouveau site internet de Valois environnement
LE SITE FONCTIONNE :
http://valoisenvironnement.org
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Là aussi, les préoccupations environnementales sont nombreuses.
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