À ÉVITER

PATRIMOINE ARCHITECTURAL

 
 
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La ville de CREIL possède un patrimoine architectural ancien remarquable qu’elle protège et valorise actuellement.


Néanmoins, qui n’a pas été frappé d’un certain malaise en découvrant les abords de l’église St Médard ?

Celle-ci était entourée de bâtiments cohérents qui offraient un écrin harmonieux à cette église.


À une époque où le patrimoine n’était pas un enjeu pour la ville, ces bâtiments ont, été détruits pour permettre d’«aménager» le centre ville de façon «moderne». Comme à Verneuil, ... ça ne vous rappelle rien ?


Et le résultat de la pression des réaménageurs fonciers de l’époque est pitoyable.

Il suffit de regarder les photos ci-dessous.



Ne reproduisons pas les erreurs du passé ! Ne détruisons pas la cohérence restante du centre de Verneuil, par des constructions contemporaines de moindre qualité qui dénatureraient le centre du village et son cachet rural et historique.

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CREIL :

La ville au Moyen Âge et à l'époque moderne

http://fr.wikipedia.org/wiki/Creil

La première indication de l'existence de la ville date de 633 environ. À cette date, selon la Vie de saint Éloi, écrite par Dadon de Rouen, le roi mérovingien Dagobert Ier y reçoit l'hommage du roi breton Judicael. Au xe siècle, c'est un château appartenant aux seigneurs de Senlis, situé sur l'actuelle île Saint-Maurice. Vers 1150, la collégiale Saint-Evremond est fondée à proximité du château, accueillant des reliques faisant l'objet d'un pèlerinage très suivi. Un bourg se développe sur l'extrémité de l'île mais aussi sur la rive gauche de la rivière, autour d'une nouvelle paroisse, Saint-Médard. Ce développement est tel qu'une charte communale est accordée le 23 janvier 1197 par le seigneur Louis de Clermont autorisant les bourgeois de la ville à tenir un conseil de ville. Un hôtel-dieu et une maladrerie sont présentes dans la ville dès le xiie siècle. Louis IX acquiert la seigneurie et les rois de France y résident régulièrement. Charles le Bel y nait en juin 129441.

La révolte de la Grande Jacquerie est initiée à Saint-Leu-d'Esserent en 1358, juste au sud de la commune. En 1374, Charles V de France intervient pour faire restaurer le marché de la commune puis rachète l'année suivante la seigneurie à Wenceslas, fils de Béatrice de Bourbon et de Jean Roi de Bohême et comte de Luxembourg. Des travaux sont alors lancés pour reconstruire la forteresse. Charles VI de France, atteint de folie, y est envoyé en résidence. La ville subit plusieurs combats de la Guerre de Cent Ans et est définitivement reconquise en 1441.

À l'époque moderne, la ville est de nouveau occupée par des troupes armées : en 1567, la ville est prise par les Huguenots, puis à nouveau occupée pendant la Fronde. En 1782, la seigneurie, qui est entrée dans les propriétés des Princes de Condé, est vendue par ceux-ci à Pierre Juéry, un magistrat d'origine roturière. Pendant cette période, l'activité économique de la ville se limite à l'exploitation de la pierre et de la meunerie le long de la rivière.

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L'église Saint-Médard (classée depuis 1920) : elle comprend des éléments allant du xiie siècle au xvie siècle dont le clocher.