JOURNÉE DU
PATRIMOINE DE PAYS
19 JUIN 2011
JOURNÉE DU
PATRIMOINE DE PAYS
19 JUIN 2011
ACTIONS et MANIFESTATIONS
Mont-la-Ville et son Patrimoine caché
Sur le thème du patrimoine caché, nous sommes allés à la découverte de Mont-la-Ville. Des habitants nous ont fait découvrir leur cour en bordure de coteaux ou leur jardin typique d’une zone humide. Nous avons évoqué l’histoire de la formation du calcaire il y a plusieurs millions d’années et celle des tufs encore habités au milieu du XX° siècle.
Nous avons raconté des anecdotes sur la vie d’Henri IV et sur les protestants qui vivaient là, à cette époque. Une balade appréciée par la cinquantaine de personnes qui nous ont accompagnés dans cette balade.
Le pont sur le ru Macquart
Ce pont de pierre existe depuis que le chemin de la Garenne existe ( XVIème siècle au moins )
La la base est en pierre, recimentée avec des techniques modernes, alors qu’on aurait pu le refaire à la chaux.
Pendant les travaux, on y a rejeté les effluents divers, eaux de rinçage des toupies de béton... on espère que les responsables des travaux aiment mieux leur famille que les éléments naturels qui font ce cours d’eau !
Les parcelles cadastrales divisent le ru en 2 au milieu. Pourtant les cours d’eau sont un bien commun qu’il faudrait gérer collectivement.
Manoir Salomon de Brosse
Histoire du manoir : A l'origine dénommé "Hôtel de Saint Quentin", le manoir Salomon de Brosse a pris son appellation et sa forme définitive actuelle à compter du XVIIème siècle. L'architecte Salomon de Brosse, né dans une maison voisine, a acheté ce manoir en 1613 pour en faire son habitation. La seule transformation apporté par Salomon de Brosse est le remplacement de la tour hexagonale initiale par une tour rectangulaire en pierre bien équarrie, couverte en ardoise.
Montlaville garde encore bien présent son caractère ancien et son charme architectural typique du pays de France,
avec des pâtures et des jardins privatifs, souvent en longueur, de part et d’autre du ru Macquart.
Nous sommes dans le vallon sud de Verneuil-en-Halatte.
Montlaville est structuré en longueur, avec le ru au milieu, et les coteaux de part et d’autre, menant aux plateaux : base aérienne au sud, massif forestier d’Halatte au nord.
Le relief est nettement découpé dans le rebord du plateau, offrant de belles positions de paysage, le plus beau site de rebord a été choisi pour construire le château.
LE MUR D’ENCEINTE DU CHATEAU
Histoire du chemin Verneuil- Fleurines
Lorsque le château d'en haut fut construit un mur d'enceinte fût érigé et qui suivait l'orée du parc, traversait la route actuelle de Verneuil-Montlaville à la hauteur de l'étang - longeait la rue de Verdun puis la rue de la Garenne, la rue Salomon de Brosse et par la rue Androuet du Cerceau rejoignait le Parc.
Ce mur, était en bas du château percé de 2 portes, l'une à l'angle ouest de l'étang l'autre à hauteur de la maison Salomon de Brosse.
LE PASSAGE ENTRE VERNEUIL ET FLEURINES
Les habitants passaient par le chemin de la garenne.
En 1789, le Prince de Condé part en exil pour fuir la Révolution. Aussitôt les habitants passent par la rue qui deviendra rue du Pt Wilson.Quand le duc revient d'exil en 1822 et réclame l'arrêt du passage, le conseil municipal délibère "comme la desserte s'est faite pendant plus de 30 ans et sans interruption, la commune décide d'en maintenir la jouissance.
Les carrières de Montlaville
http://fr.wikipedia.org/wiki/Craie
La craie est perméable, poreuse et friable.
La craie s'est formée par accumulation de squelettes de microorganismes marins, coccolithes essentiellement, à l'époque géologique du Crétacé auquel elle a donné son nom.
Cela se passe encore de nos jours de la même façon.
1/10 mm / an
1mm /10 ans
1cm /100 ans
1 m / 10 000 ans
100 m / 1 000 000 années
La craie a ensuite été exploitée pour produire des pierres de taille, pour alimenter les fours à chaux ou fournir les moellons qui garnissaient l'intérieur des murs constitués de deux parois parallèles.
La craie est une roche rare sur le globe et dans les temps géologiques bien qu'elle soit abondamment représentée dans la région.
Les principales carrières:
-la carrière des Placeaux,
-la grande carrière de C Séverin,
-la carrière des essais de l’INERIS,
-2 carrières souterraines à Mont-la-Ville, transformées en champignonnières et détruites par explosifs par Henri Massaux, dans la première moitié du XX° siècle.
-les carrières du fond de la Vallée Ste Geneviève.
La chaux connait au début du XXI° siècle un regain d'intérêt. En effet le ciment est incompatible avec la maçonnerie de bâtis anciens en moellons et pierres de taille. Le ciment étant un matériau rigide et imperméable à l'air, il ne convient pas à une maçonnerie traditionnelle qui nécessite de la souplesse et d'être perméable à l'air.
La perméabilité à l'air permet à une maçonnerie de s'assécher. L'eau qu'elle absorbe par la pluie ou des remontées capillaires, peut s'évacuer par ses joints à la chaux
Au-dessus du chemin de la garenne, on extrayait un complexe argilo- calcaire des cavernes : le craon.
On peut encore y voir la descente qui servait à évacuer le craon. M. Legrand y a travaillé jusqu’en 1935.
les TUFS
http://hydroval.free.fr/tufs.html
Les tufs calcaires (ou travertins) sont des roches sédimentaires calcaires crées en milieu continental, à aspect concrétionné et riche en alvéoles de toutes tailles, de couleur grise à jaunâtre.
Les petits cristaux se déposent sous forme d'une croûte calcaire sur les végétaux présents dans le cours d'eau. Ce sont principalement les mousses et les cyanobactéries autrefois appelées « algues bleues »qui servent de support, elles se sont organisées en colonies fixées (stromatolithes), capables de produire du calcaire.. La superposition de ces couches successives forme la roche appelée tuf.
Quand le support végétal meurt et disparaît, il laisse des emplacements vides, responsables des tubes creux, des alvéoles et de l' aspect caverneux de la roche.
Les tufs, ce sont les maisons troglodytiques taillées dans la roche calcaire du même nom et habitées à l'époque par des ouvriers
Encore un grand MERCI à tous nos hôtes du jour !
Cette Journée était coordonnée nationalement et grâce à l'action de délégations locales de Patrimoine-Environnement, Maisons Paysannes de France, Fédération Française des Associations de sauvegarde des Moulins, CAPEB et les Architectes du patrimoine.
Des habitants de Mont-la-Ville nous ont très aimablement ouvert les portes de leur cour et de leur jardin.
Nous avons pu admirer les côteaux boisés maitrisés par de solides murs de soutènement, les caves creusées directement à flanc de côteau, les fournils abritant de vieux fours à pain, les escaliers de pierre, les puits encore en service...
L’Association VERN’ŒIL organise une journée du Patrimoine de Pays le dimanche 19 juin 2011.
Cette journée nationale s’inscrit sous l’égide de la Fédération Nationale du Patrimoine.
Le thème de cette 14e édition sera le " patrimoine caché ".
Chuuuuuuuuuuuuuuuuuut…
L'occasion est donnée de découvrir ce qu'il y a de plus secret dans le patrimoine. Seront à l'honneur: les secrets de fabrication et les savoir-faire, le patrimoine souterrain (caves, cryptes, troglodytes...) et archéologique (fouilles, ruines, vestiges...), les lieux dissimulés ou insolites, les portes ouvertes exceptionnelles de lieux habituellement fermés au public, les cours des maisons, les réserves de musées, les mémoires oubliées...
Cette année, nous découvrirons Mont la Ville et son patrimoine caché.
Départ 14h30 devant le manoir Salomon de Brosse, avec un Itinéraire permettant de mixer paysages naturels et architecturaux.
Une pause est prévue rue Émile Zola avec un pot de l’amitié.
La Journée du Patrimoine de Pays et des Moulins est un événement national qui offre l'opportunité de découvrir des sites patrimoniaux ou des savoir-faire traditionnels grâce à de nombreuses animations : visites de sites, circuits de découverte, expositions, dégustations, démonstrations de savoir-faire, conférences...
1.500 animations gratuites (sauf exception) sont organisées partout en France à l'initiative d'associations principalement, mais aussi de collectivités, de professionnels du tourisme, d'artisans spécialisés ou encore de particuliers animés par l'amour du patrimoine.
200.000 visiteurs participent chaque année à ces manifestations contribuant ainsi à l'animation locale et à la valorisation des territoires ruraux.
Cette 14e édition, aura pour thème "le patrimoine caché". L'occasion est donnée de découvrir ce qu'il y a de plus secret dans le patrimoine. Seront à l'honneur: les secrets de fabrication et les savoir-faire, le patrimoine souterrain (caves, cryptes, troglodytes...) et archéologique (fouilles, ruines, vestiges...), les lieux dissimulés ou insolites, les portes ouvertes exceptionnelles de lieux habituellement fermés au public, les cours des maisons, les réserves de musées, les mémoires oubliées...
Cette Journée est coordonnée nationalement et grâce à l'action de délégations locales de Patrimoine-Environnement, Maisons Paysannes de France, Fédération Française des Associations de sauvegarde des Moulins, CAPEB et les Architectes du patrimoine.
Le thème de cette 14e édition sera le " patrimoine caché ". Seront à l'honneur:
- les secrets de fabrication et les savoir-faire, la face cachée de l'art de bâtir,
- les éléments dissimulés, les détails insolites, l'envers du décor,
- le patrimoine souterrain (caves, cryptes, troglodytes…),
- archéologique (fouilles, ruines, vestiges…),
- les portes ouvertes ou réouvertures de monuments,
- l'intérieur de maisons et de leurs cours,
- les réserves de musées,
- les lieux et les mémoires oubliées…
Texte de Michel Fontaine, président de Maisons Paysannes de France :
Chut…
Cette année, le patrimoine de pays nous invite à pénétrer dans ce qu'il y a de plus secret, à partir à la recherche de ce qu'il a de moins connu, de plus dissimulé. A chacun d'enquêter, d'interroger, de se souvenir, d'aller à la rencontre d'érudits locaux, de ceux qui connaissent sans en communiquer, bien souvent.
Le voyage dans le temps peut commencer par ce qui a été creusé dans la terre ou dans la roche par les troglodytes. Depuis que les hommes habitent notre pays, ils ont laissé des vestiges un peu partout. L'archéologie ne cesse d'aller de découverte en découverte, de la grotte préhistorique à la villa gallo-romaine ou au four à briques abandonné depuis les débuts du moyen âge. On connaît des puits autrefois situés en surface, que l'accumulation séculaire de ruines et de bâtiments a enfoui aujourd'hui à deux ou trois niveaux sous le rez de chaussée ! Au fond des caves, des celliers ou du chai, peut se cacher peut-être le lieu jalousement gardé où sont conservées les bouteilles les plus poussiéreuses. Bien des châteaux, témoins de guerres de vengeances, de cruautés, possèdent des échappées souterraines, des cachettes, des prisons, sans oublier…les oubliettes ! Le sol de beaucoup d'églises recouvre des cryptes. Les persécutions religieuses, les grandes pestes nous ont laissé des catacombes et des ossuaires.
Notre enquête peut aussi concerner des lieux, des bâtiments, des fabriques, des ateliers, habituellement fermés ou privés, mais dont il serait possible d'obtenir l'ouverture pour une journée, au nom d'une culture partagée.
Ne serait-ce pas le moment d'évoquer les secrets de fabrication de tel ou tel objet, outil, le cerclage d'une roue de charrette, une préparation pharmaceutique à base de plantes ou une recette de cuisine traditionnelle ? Le maçon, le charpentier, le peintre, l'imprimeur possèdent des savoir-faire jalousement gardés. Seraient-ils prêts à en parler ? Le menuisier, l'ébéniste, l'antiquaire voudront-ils bien révéler la cachette au double fond d'un tiroir pour les lettres d'amour, les actes de propriété ou les secrets de familles ?
Poursuivant notre voyage, nous aurons aussi la possibilité de rechercher des éléments dissimulés dans le patrimoine artistique lui-même : réserves de musées que l'on n'ouvre jamais, décors peints recouverts, puis une partie mis à nu, dont on attend fébrilement qu'ils nous émeuvent par leur beauté naïve ou leur science picturale.
Enfin, n'oublions pas ce que dit le langage, qu'il soit écrit ou parlé : les légendes, les histoires oubliées du coin du feu. Vraies ou fruits de l'imagination, elles sont aussi un patrimoine comme les musiques et les chansons. Il existe un peu partout, des conteurs qui font revivre le passé ou captivent leur auditoire, avec des histoires à dormir debout, mais qui ont souvent des racines dans un autrefois, déformées mais bien réelles pour celui qui sait les interpréter.
Chers amis, le thème qui vous est proposé pour cette année 2011 va en réjouir certains tout de suite. D'autres resteront peut être un peu perplexes. Qu'ils se rassurent. Il reste partout des passionnés d'histoire, des collectionneurs, de restaurateurs du passé qui seraient très heureux de partager leur savoir. L'accumulation des années et des siècles a créé aussi notre patrimoine secret. Il n'est pas réservé à quelques-uns. Il doit être partagé et sa recherche est simplement passionnante.
Nous avons terminé notre parcours par la traversée d’un jardin jusqu’au ru et nous avons pu nous rendre compte de visu d’une zone humide :
Le Rû Macquart prend sa source dans les prés du fond de Mont-la-Ville, il court le long du vallon jusqu’à l’étang du haut, en contrebas du chemin de la Garenne.
Il traverse les prés du moulin d’en haut ; il est rejoint par le fossé sainte Geneviève qui arrive de la Vallée.
Il longe ensuite la Peupleraie et la chaussée des Moulins.
Il bifurque alors à l’ouest et se jette dans l’Oise au niveau de la Talmouse.
Un autre ruisseau arrive dans le fleuve, plus au nord : le fossé du Seigneur.
Chaque propriétaire riverain est tenu d’assurer le libre écoulement des eaux, la bonne tenue des berges et de préserver la faune et la flore environnantes (art 114 du Code Rural).
Voici quelques Recommandations pour l’entretien du Ru :
- Pour être efficace, l’entretien doit être régulier (tous les 3 – 4 ans) afin de maintenir le bon état du ruisseau et d’éviter à long terme des travaux de restauration plus lourds et plus coûteux.
- Les moyens matériels utilisés doivent être raisonnés : tronçonneuse et outils à main sont les mieux adaptés aux petits ruisseaux ; l'utilisation de pelle hydraulique doit être évitée, son utilisation entraine la destruction de la faune aquatique, les ruisseaux aménagés avec ce type d'outils sont souvent creusés trop larges et trop profonds ce qui entraine le développement d'herbe dans le lit du ruisseau et par conséquence nuit à la libre circulation de l'eau.
- Les plantations viennent compléter les travaux de dégagement du lit. Elles apportent de l’ombrage au ruisseau, limitant ainsi la pousse des plantes aquatiques.
Ce Qu'il Faut Eviter :
- Intervenir systématiquement sur la végétation : les coupes rases
- Toucher au lit mineur du cours d’eau sur toute sa longueur : recalibrage, rectification.
Ceci afin de :
- Ne pas favoriser les phénomènes d’érosion de berges qui entraînent des pertes de terrain
- Ne pas créer de zones trop larges et nues car la faible hauteur d’eau et le fort ensoleillement favorisent le développement rapide de la végétation qui engendre alors des barrages et augmentent les risques d’inondation
- Ne pas créer des profils de ruisseau en chenaux rectilignes où les courants sont beaucoup plus rapides durant les crues et aggravent ces situations à l’aval
Il faut savoir que tout passage de désherbant à moins de 5 m d’un cours d’eau est interdite.
En saison de reprise végétative, il est mieux de faucher le plus tardivement possible
On évite aussi de jeter dans le ru, les tontes qui envasent le cours d’eau, l’encrasse et ne nourrissent pas les poissons.
Pour l’aménagement de berges, on privilégie des espèces locales : aulnes, saules blancs, saule marsault
Eviter de canaliser un cours d’eau : il doit méandrer, avoir un cheminement naturel.
La notion de trame bleue désigne généralement le réseau écologique et écopaysager constitué par les cours d'eau et les zones humides adjacentes ou en dépendant.
Les terres humides constituent l’habitat, du moins pour une partie de l’année, de nombreux poissons, oiseaux et autres animaux. Elles répondent à leurs besoins essentiels en matière de reproduction, de nidification, de croissance et d’alimentation. Sans les terres humides, certaines espèces sauvages disparaîtraient.
Les terres humides représentent le seul lieu de vie pour de nombreuses espèces de salamandres, de serpents et de couleuvres, de tortues et d’insectes aquatiques.
Sans les terres humides, nous ne disposerions plus de réserves d’eau potable. Un peu comme les reins du corps humain, les terres humides filtrent les eaux des lacs, des fleuves ainsi que des rivières et réduisent leur taux de pollution.
Le PLU ( plan local d’urbanisme) de Verneuil a été délibéré en 2008, sans qu’un inventaire des zones humides n’ait été réalisé.
Il n’y a donc aucune zone naturelle protégée à Verneuil en dehors de la butte derrière la rue du Général de Gaulle, les coteaux, et quelques fonds de vallée en amont du ru Macquart.
Les bords des cours d’eau ( rus ) n’ont été que peu pris en compte , ni les anciennes zones marécageuses ( décrites auparavant à Verneuil sur les cartes Michelin ), ni les zones humides encore existantes, ni les sources qui sourdent ici et là.
Ces zones sont donc urbanisées à grande vitesse par les promoteurs et lotisseurs privés, avec l’appui fort et tacite de la commune.
Et notre cadre de vie, nos paysages uniques créés patiemment au cours des siècles, la biodiversité que nous devrions protéger précieusement, disparaissent définitivement sous les toupies de béton, au profit d’intérets privés éphémères, toujours insatisfaits.
Pourquoi les zones N autour du ru Macquart sont elles interrompues et désormais urbanisables ( donc encore sacrifiées aux constructions ),
à partir de la rue Salomon de Brosse jusqu’à l’étang d’en haut ?
INVITATION PRÉALABLE
Et à Verneuil, même pas peur !!!
ces zones humides sont devenus des terrains dédiés à la construction, et bien évidemment bons pour la santé des gens qui y habitent...
Solution : construisons sur pieux de béton,
et chassons cette eau que l’on ne saurait voir... loin loin loin sous les remblais et le béton !
mais l'eau court toujours,
elle est passée par ici,
elle repassera par là...
dans les caves de la rue Victor Hugo,
dans les sous-sol de l'avenue du Gl de Gaulle...
dans les jardins,
dans les murs des maisons...
Extrait du PLU de Verneuil
Hameau de Mont-la-Ville autour du Ru Macquart
Lychnis fleur de coucou
Prêle
plantes observées le long du Ru Macquart dans une zone humide
ZONE À URBANISER DEPUIS LA MARE AUX DAIMS JUSQU’EN HAUT DU CÔTEAU
ZONE À URBANISER DANS LES PRÉS À LA SOURCE DU RU MACQUART
Nouvelle ZONE À URBANISER de suite, le long du chemin de la Garenne.
Voici une petite vidéo qui montre bien ce qu’est une zone humide dans un jardin de Mont la Ville !