NOUVELLES ÉCONOMIQUES LOCALES
NOUVELLES ÉCONOMIQUES LOCALES
QUESTIONS D’ACTUALITÉ ET ENJEUX
Cette page vise à communiquer des informations sur l’économie locale.
PLAN DE LA PAGE :
La base aérienne de Creil, important contributeur à l’activité économique et sociale de Verneuil.
De nombreux militaires basés à Creil ont choisi de vivre à Verneuil en Halatte.
Ils contribuent ainsi à la vie sociale et associative, leurs enfants participent à la vie scolaire, ils payent des taxes foncières et d’habitation, et sont acteurs parmi d’autres du marché foncier et immobilier de Verneuil.
La fermeture de l’activité aéronautique de la base de Creil, ainsi que la réduction des effectifs risquent de s’accompagner du départ des militaires employés dans cette activité.
«Dans les milieux autorisés...», on est en mesure de s’interroger sur les retombées économiques que ces départs auront sur la commune de Verneuil.
-MAI 2015 : La BA 110 dit adieu à une partie de son histoire
Base aérienne de Creil : un meeting de l’air pour finir en beauté ce dimanche
-NOVEMBRE 2015 : Creil : quel avenir pour la base de Creil et pour l'Institut géographique national ? Un aérodrome d'affaires à la place de la base aérienne ?
-OCTOBRE 2014 : Fermeture programmée de la plateforme aéronautique de la base aérienne 110 de Creil en 2016
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La base de Creil est construite depuis les années 1950.
En position surélevée par rapport au village, elle se situe sur un plateau qui domine le village de Verneuil, tout en n’étant pas visible de ce dernier.
Elle est par contre repérable par les nombreux bruits qui accompagnent son activité aérienne. (cf. notre page bruits )
Si l’activité aérienne disparait, ces bruits cesseront, et l’activité de renseignement qui subsistera restera feutrée, conformément à sa vocation.
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Paru dans le Parisien du 05 Août 2015, cet article évoque le devenir incertain de l’IGN de Creil.
Creil : quel avenir pour l'Institut géographique national ?
Le Parisien | 05 Août 2015, 11h40
« Si la piste de la base aérienne de Creil ferme, nous devrons tous déménager. Ce sera un drame pour de nombreuses familles », assure Michel Caron, syndicaliste CGT. C'est un cri d'alarme que viennent de lancer les salariés de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN).
Depuis plus de 70 ans, l'escadrille des avions photographes de l'IGN décolle de la BA110 pour réaliser les clichés de toute la France. Ce sont ces clichés qui permettent ensuite d'établir des cartes ou des observations. Or le ministère de la Défense a annoncé l'arrêt des activités aéronautiques pour l'été 2016. Conséquence, le contrôle et l'entretien de la piste et de la tour de contrôle ne seront plus assurés. « Cela veut dire que l'IGN devra quitter les lieux, tout simplement », résume Pierre Thomas, secrétaire CGT. Au total, 53 personnes sont directement concernées par ce départ. « C'est autant de familles qui sont installées depuis des années dans le secteur. Je suis né à Creil par exemple », rappelle Michel Caron.
« Plusieurs options se dégagent et aucune n'est actuellement privilégiée » assure Laurent Cunin, chef de service adjoint. Dans le cas où le projet d'un aérodrome privé — un peu à l'image du Bourget — est retenu et développé par la communauté d'agglomération de Creil (CAC), l'IGN pourrait assurer le relais entre les militaires et la mise en fonction du site par la CAC. « Nous pourrions alors rester plus longtemps sur place », confirme Pierre Thomas. La seconde, actuellement à l'étude, serait un déménagement du côté de Beauvais. « Un terrain serait bien disponible. Par contre, tout devrait être reconstruit, notamment les hangars et les bâtiments où travaillent les équipes », signale Michel Caron. Une solution qui serait, selon les salariés, un « moindre mal ». Enfin, dernière hypothèse : le départ pur et simple de l'Oise. « Ce qui peut induire pour nos conjoints de changer de travail et surtout la vente de nos biens. » L'IGN devrait pouvoir assurer ses missions à Creil jusqu'en octobre 2016. Mais, après, l'avenir des salariés est ainsi suspendu au devenir du site… « A la fin de l'année, notre sort sera scellé. » conclut Michel Caron, dans l'expectative, comme l'ensemble de ses collègues.
Creil sous le choc de l'annonce de la restructuration de la base aérienne 110
FRANCE 3 PICARDIE
L'annonce faite par le ministre de la défense mercredi a provoqué une onde de choc dans le Sud de l'Oise: une partie des militaires de la base aérienne doit quitter Creil à l'horizon 2016. L'année dernière déjà, la BA 110 avait perdu 250 postes affectés au renseignement.
Mais le départ annoncé des pilotes des célèbres Casa, des mécaniciens et des aiguilleurs du ciel ne signifie pas pour autant la fermeture du site:
Fermeture de la plateforme aéronautique de la base aérienne 110 de Creil en 2016
FRANCE 3 PICARDIE
Ce mercredi 15 octobre 2014, le ministre de la Défense le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a annoncé un ensemble de restructurations pour l'année 2015, dans le cadre de la Loi de programmation militaire. La base aérienne de Creil est concernée.
•Par Halima Najibi
•Publié le 15/10/2014 | 17:37, mis à jour le 15/10/2014 | 18:08
© France 3 Picardie base aérienne de Creil
Le début du transfert des escadrons de Casa de Creil (Oise) vers la Base aérienne 105 d'Évreux en vue de la fermeture de la plateforme aéronautique
de la Base aérienne 110 de Creil 428 hectares sur Creil, Verneuil-en-Halatte et Apremont dans l'Oise, aura lieu en 2016. Au total 1300 personnes sont concernées à Creil par cette réduction des effectifs dans le cadre de la Loi de programmation militaire (2014-2019).
Trois escadrons de transport : pilotes, mécaniciens, contrôleurs du ciel.. Une trentaine de postes de civils (logistique et entretien) seront impactés par cette loi à Creil. Une vingtaine de CASA CN 235 des avions de transport qui peuvent embarquer jusqu'à 36 parachutistes seront transférés à Evreux, base aérienne 105.
Il y a également deux mirages qui servent à la surveillance de l'espace aérien de l'Oise et du nord de Paris, ils seront probablement transférés.
Afin de rationaliser les implantations de la défense. Les personnels de la Direction du renseignement militaire (DRM) basé à Creil rejoindront le nouveau site du ministère à Balard, dans le sud de Paris, où doivent être regroupés à partir de 2015 l'ensemble des implantations parisiennes de la Défense.
L'an dernier, 250 personnes travaillant pour la direction des renseignements militaires avaient été transférées à Balard à Paris.
La plateforme aéronautique BA 110 de Creil sera fermée en 2016.
Pour 2015, ce sont au total 7.500 postes qui doivent être supprimés dans les armées.
Voir aussi sur :
Creil : au coeur du renseignement militaire français
FRANCE 3 PICARDIE
A une soixantaine de kilomètres de Paris, la base aérienne 110 abrite le centre névralgique du renseignement militaire français. Un site qui permet à l'armée de suivre en direct l'évolution des conflits internationaux.
En savoir plus :
Base aérienne 110 - Accueilwww.ba110.air.defense.gouv.fr/
Base aérienne 110 de Creil Site de l'armée de l'air. "Lcl Guy de la Horie" ... Une course d'orientation les a amenés sur la base aérienne 110. À leur… Prise de ...
Base aérienne 110 Creil — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Base_aérienne_110_Creil
La base aérienne 110 Creil « Lieutenant-colonel Guy de La Horie » de l'Armée de l'air française est située sur la commune de Creil dans le département de ...
La base aérienne de Creil, important contributeur à l’activité économique et sociale de Verneuil.
De nombreux militaires basés à Creil ont choisi de vivre à Verneuil en Halatte.
Ils contribuent ainsi à la vie sociale et associative, leurs enfants participent à la vie scolaire, ils payent des taxes foncières et d’habitation, et sont acteurs parmi d’autres du marché foncier et immobilier de Verneuil.
La fermeture de l’activité aéronautique de la base de Creil, ainsi que la réduction des effectifs risquent de s’accompagner du départ des militaires employés dans cette activité.
«Dans les milieux autorisés...», on est en mesure de s’interroger sur les retombées économiques que ces départs auront sur la commune de Verneuil.
La base de Creil est construite depuis les années 1950.
En position surélevée par rapport au village, elle se situe sur un plateau qui domine le village de Verneuil, tout en n’étant pas visible de ce dernier.
Elle est par contre repérable par les nombreux bruits qui accompagnent son activité aérienne. (cf. notre page bruits )
Si l’activité aérienne disparait, ces bruits cesseront, et l’activité de renseignement qui subsistera restera feutrée, conformément à sa vocation.
Rappelons ici le projet de la commune de construire 49 logements au-dessus de l’église, destinés à loger des familles de militaires au coeur de Verneuil.
Ce projet a fait l’objet d’une Enquête Publique en 2013 sur laquelle s’étaient exprimées de nombreuses associations de Verneuil.
cf notre page Enquête Publique
Toujours d’actualité, ce projet de la municipalité impliquerait la destruction du Foyer Léo Lagrange et le déplacement de l’activité de cette association de 500 adhérents vers l’allée du Marais, bien bien loin du coeur du village.
Aujourd’hui, la commune est toujours fermement décidée à poursuivre son projet, mais un élément nouveau est apparu concernant le baraquement Léo Lagrange, Celui-ci a été classé avec discernement par l’Architecte des Bâtiments de France en charge d‘examiner ce projet.
La commune ne pourra donc règlementairement pas détruire ce monument historique comme elle l’avait projeté initialement, et comme elle l’a déjà fait et continue à le faire pour de nombreux éléments du patrimoine architectural du village.
cf notre page bilan des destructions
Elle pourrait par contre en faire effectuer le démontage et remontage en un lieu adéquat qu’il lui faudra avoir défini, et pour lequel elle devra avoir déposé et obtenu un permis de construire. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, malgré l’affichage du permis de démolir.
Cette opération couteuse (évaluée officieusement par le Maire à 400.000€) est très incertaine quand on constate la mauvaise volonté évidente de la commune à protéger la ferme du centre bourg depuis 5 ans malgré les recommandations de l’Architecte des Bâtiments de France.
cf notre page QUE_SE_PASSE_T-IL_A_VERNEUIL
On ne peut donc que se faire du souci pour le devenir de ce bâtiment Léo Lagrange si la commune décide de le démonter.
Pourtant, il existerait une solution de bon sens ménageant tous les intérêts (au-delà des seuls intérêts financiers...) :
pourquoi ne pas laisser le foyer Léo Lagrange à sa place, garant de l’espacement et de l’aspect aéré qui fait le charme de notre commune, tout en modérant un peu ce projet de logements (qui entrainera beaucoup de densification urbaine entre l’église et le coteau).
Pour cela, il suffirait d’abattre ce projet d’un ou 2 «blocs» qu’il sera toujours possible de construire à l’allée du Marais, là même où la commune souhaiterait expatrier l’activité des Associations.
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Sur le sujet de l’avenir de la Base de Creil déjà évoqué ci-dessous, vous pourrez trouver une question écrite au Sénat suivie d’une réponse du Ministre de la Défense.
Devenir de la base aérienne 110 de Creil
14e législature
Question écrite n° 14886 de M. Jean-Pierre Bosino (Oise - CRC)
publiée dans le JO Sénat du 19/02/2015 - page 354
M. Jean-Pierre Bosino attire l'attention de M. le ministre de la défense sur le devenir de la base aérienne (BA) 110 de Creil.
Cette base aérienne, qui tire de nombreux atouts de sa proximité de la région parisienne, regroupe aujourd'hui plusieurs activités et notamment les escadrons de transport « Vercors » et « Ventoux », équipés d'avions Casa, ainsi que les aéronefs de transport stratégique A 310 et A 340 de l'escadron « Esterel ». Dans le cadre du plan stratégique de l'armée de l'air « unis pour faire face », il est prévu que ces activités soient déplacées vers la base d'Évreux, ou qu'elles cessent simplement. C'est aussi à Creil que se trouvent basés les deux avions de type Rafale de la « veille opérationnelle ».
La BA 110 emploie directement 3 300 agents mais est aussi un important pourvoyeur d'emplois indirects, par le biais des emplois induits, de la sous-traitance, et des intervenants extérieurs.
La plateforme aéronautique de cette base compte à elle-seule 1 300 agents, tous statuts confondus.
La mise en œuvre du plan évoqué plus haut conduira au départ de 250 à 450 personnels, mais aussi, par voie de conséquence, au départ de leurs familles.
La base injecte près de 50 millions d'euros chaque année dans l'économie de l'Oise.
Dans un courrier en date du 6 novembre 2014, le ministère de la défense indique dans le même temps un maintien sur site des activités de renseignement militaire ainsi qu'un transfert d'unités implantées à Strasbourg. Si l'on ne peut que saluer cette nouvelle de bon augure, les inquiétudes demeurent quant aux conséquences de ce plan sur l'économie et les populations isariennes.
De plus, outre les activités strictement militaires, se pose aussi la question du devenir des autres utilisateurs de la BA 110, tels que l'institut géographique national (IGN), qui dispose localement de quatre avions lui permettant de mener à bien ses missions de cartographie sur toute la France. En l'absence d'entretien des pistes, il est à craindre que l'IGN ne puisse continuer à exercer sur la base de Creil.
Il souhaiterait donc qu'il puisse lui apporter des réponses précises sur le devenir de la base aérienne 110 à court et moyen terme, et plus particulièrement sur le devenir de son activité aéronautique.
Réponse du Ministère de la défense
publiée dans le JO Sénat du 26/03/2015 - page 684
Le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale publié en 2013 a défini un nouveau modèle d'armée, adapté aux ambitions, au contexte stratégique et à la situation des finances publiques. Le format d'armée, ainsi revu, induit des opérations de restructuration qui consistent en des mesures de réorganisation, de mutualisation, de fermeture d'implantations militaires et des transferts d'unités. En ce qui concerne l'armée de l'air, un plan stratégique visant principalement à moderniser les capacités de combat et à simplifier les structures a été élaboré. Ce plan prévoit notamment, dans le cadre du renouvellement de la flotte d'aéronefs de transport, de regrouper l'ensemble des A400M Atlas sur la base aérienne (BA) 123 d'Orléans et l'ensemble des cargos légers et moyens, dont les Casa 135, sur la BA 105 d'Évreux. La mise en œuvre de ce plan conduira donc à transférer les escadrons de transport « Vercors » et « Ventoux » équipés de Casa, actuellement stationnés sur la BA 110 de Creil, ainsi que leurs moyens de soutien technique, vers la base d'Évreux. Les aéronefs de transport stratégiques A310 et A340 de l'escadron « Esterel », également implanté à Creil, étant mis en œuvre depuis l'aéroport de Roissy, les activités aéronautiques militaires cesseront sur Creil à l'été 2016. En conséquence, la plate-forme aéronautique sera progressivement fermée et les unités dédiées à son fonctionnement seront dissoutes. Au terme de ces opérations, les effectifs civils et militaires du ministère de la défense présents à Creil demeureront élevés. Il est de plus précisé que l'importance de la BA 110 dans le dispositif de défense de notre pays, s'agissant notamment du domaine du renseignement militaire, est garante de la pérennité de cet organisme. Afin de prendre en compte les conséquences territoriales qu'auront les évolutions programmées pour la BA 110, le Premier ministre a décidé la mise en place à Creil d'un contrat de redynamisation de site de défense. Il a en outre confié au préfet de l'Oise le pilotage du dispositif d'accompagnement économique de cette restructuration. Un comité de site réunissant les représentants des collectivités locales concernées, les parlementaires et l'ensemble des services de l'État pouvant intervenir a ainsi été installé dès le 24 novembre dernier. Il a d'ores et déjà été prévu de lancer une étude d'impact, qui sera réalisée par l'Institut national de la statistique et des études économiques, en vue d'analyser précisément les effets directs, indirects et induits de la mesure sur l'économie locale, le marché du travail, le marché foncier et les établissements scolaires. Un audit devant déboucher sur un projet de développement sera ensuite effectué par un cabinet spécialisé, sur la base d'un cahier des charges établi en concertation avec l'ensemble des partenaires locaux. Au terme de ces travaux, l'État soutiendra, par le biais de subventions accordées par le ministère de la défense et par le ministère du logement, de l'égalité des territoires et de la ruralité, les projets permettant de redynamiser le bassin creillois. Par ailleurs, le délégué à l'accompagnement des restructurations de la défense coordonnera le plan d'accompagnement social mis en œuvre au profit du personnel civil et militaire travaillant sur la BA 110, en liaison avec la mission d'accompagnement des réorganisations (MAR). Le ministre de la défense mesure pleinement l'impact de ces décisions et sera particulièrement vigilant quant à la bonne mise en œuvre de ce dispositif d'ensemble.
SOURCE : http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150214886.html
La BA 110 dit adieu à une partie de son histoire
En 1947, l’institut géographique national prend possession d’anciennes installations allemandes sur la commune de Verneuil-en-Halatte, et utilise des avions rachetés aux Américains.
Si le départ des forces aéronautiques ne marque pas la fermeture de la base aérienne 110, une page se tournera malgré tout en septembre. Réactivée en mars 1990 après la première guerre du Golfe, la BA 110 avait connu un essor dans l’après-guerre. Bien avant ça, le premier posé avait eu lieu en 1910, dans un champ tout proche du lieu actuel.
Durant la Grande Guerre, l’Etat-major installé à Creil y a effectué une dizaine de reconnaissances pour repérer l’évolution des troupes allemandes. C’est pourtant la Luftwaffe, l’armée de l’air allemande qui, en 1939-1945, va bâtir une base aérienne avancée afin de mener des raids contre l’Angleterre, avant d’essayer d’y contrer ceux des alliés. Ce sont eux qui donneront une envergure à ce qui était jusque-là une simple plate-forme. En 1951, dans le cadre de l’Otan, est construite une base aérienne moderne qui marque l’arrivée de l’armée de l’air. Dans le contexte de Guerre froide, elle abrite, entre autres, la 10e escadre de chasse pour la défense aérienne de Paris et l’escadron de bombardement 3/91 « Beauvaisis » pour la dissuasion nucléaire. En 1985, après une décision stratégique, la base est mise en sommeil jusqu’à sa réactivation afin de décentraliser les états-majors parisiens. Y seront créés différents services. A la rentrée 2016, seuls les équipes de protections de la base, la direction du renseignement militaire et l’escadron Estérel, en charge du transport stratégique, resteront en place.
AU SUJET DE L’IGN, VOIR également NOTRE PAGE :
Sur le même sujet, voir également :
Un aérodrome d'affaires à la place de la base aérienne ?