REVUE DE PRESSE
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QUESTIONS D’ACTUALITÉ ET ENJEUX
Le magazine PAYS DU NORD ouvre un dossier consacré au COMBAT DES ANONYMES pour le PATRIMOINE EN DANGER, dans son dernier numéro de septembre. On y parle de Verneuil, des menaces qui planent sur la ferme-prieuré du centre-bourg, ... et du combat de l’association VERN’ŒIL pour sa sauvegarde.
( en vente dans notre bonne papeterie-presse )
Depuis deux ans notre Association agit pour le respect du patrimoine bâti ancien de Verneuil.
Ce dernier est soumis aux attaques de ceux qui ne comprennent pas l’intérêt de sa mise en valeur, ou qui ont d’autres projets pour remplacer ce qui reste du cœur historique de Verneuil.
Il ne pourra donc survivre que si ses habitants en prennent la mesure, comprennent sa valeur, et s’expriment clairement dans ce sens.
Ce qui se passe à Verneuil n’est pas unique. Ce numéro de Pays du Nord l’illustre bien. Une interview de Jacques Philippon, conservateur des monuments historiques à ce sujet : “les habitants et les maires doivent se mobiliser“.
Également un reportage sur le chateau de Beaurepaire, à 2 pas de Verneuil.
EXTRAITS :
“Les plus anciens édifices de Verneuil-en-Halatte? En ruine...“
“un bâtiment qui devrait faire la fierté du village : un prieuré. La ferme et ses jolis colombages, qui accueillait des moines bénédictins depuis le Xle siècle, avant d'être revendue à des particuliers puis à la municipalité dernièrement, est en triste état toiture partiellement effondrée, pans de murs abimés, la ferme-prieuré, en plein centre du village, mais à l’abri des regards, mériterait assurément une nouvelle affectation “
“...à l’image de certains plus beaux villages de France, sa forêt, son ru Macquart, ses bâtisses anciennes, à l’instar de nombreux bourgs ruraux du département, en font un lieu presque idéal...“
“à Verneuil en Halatte dans l’Oise, ... /...
quelques habitants pour qui développement économique ne doit pas se conjuguer avec la perte de l’âme du bourg.“
“Des barrières tout autour de l'édifice... “
SEPTEMBRE 2011 : Magazine Pays du Nord
A quelques jours des Journées du Patrimoine qui célébreront l’extrême richesse de notre histoire bâtie, Pays du Nord a choisi de s’intéresser à ce patrimoine qui a été parfois malmené. A ce patrimoine qui est toujours menacé. A ce patrimoine qui a parfois disparu sous les coups de pelleteuses. Heureusement, quasiment à chaque fois, des individus se sont mobilisés : pour garder leur patrimoine bâti ou naturel en vie. Pour le transmettre aux générations futures. Emile Vivier était l’un d’eux. Fondateur de Nord Nature, une Fédération regroupant près de soixante-dix associations de défense de l’environnement, ce chantre de la biodiversité avait mené des luttes contre un barrage sur la Canche ou une énième autoroute sur nos terres, l’A24. Décédé à l’âge de 88 ans en juin dernier, il était l’exemple même de l’intervention citoyenne dans la sauvegarde du patrimoine, quel qu’il soit.
Les personnes, le plus souvent des citoyens anonymes, que nous avons rencontrées à Lille, Charleroi, Verneuil-en-Halatte, Abbeville, Flers ou Rivière appliquent - ou ont appliqué - cet adage. Leurs combats pour les patrimoines méritaient bien quelques lignes.
http://presse.paysdunord.fr/wp-content/uploads/downloads/2011/09/Patrimoine.pdf
Magazine n°103
1. Combat pour le patrimoine
2. L'entreprise Saint-Amand
3. Le vin belge
4. Terroir – Les bistrots de pays de l'oise
5. Loft réhabilité à Tourcoing
6.Les 600 ans de l'échasse namuroise
7.
Oise Hebdo buzze dans Télérama, Grazia et L'Express
Oise Hebdo connaît une publicité inattendue dans la presse nationale depuis quelques semaines. A tel point que Télérama, Grazia et maintenant L'Express, trois magazines très différents, consacrent un papier à cet hebdo ou son éditeur Vincent Gérard.
Grazia, Rue89, Télérama… Et maintenant L'Express ! Mais que se passe-t-il dans la presse nationale pour qu'elle éclaire autant un hebdo de presse régionale ? Un hebdo, certes, mais pas n'importe lequel puisque c'est Oise Hebdo qui affole nos confrères depuis cet été.
Tout commence avec le jeu de mot sur l'affaire DSK et la "Strauss-Kahnerie", Oise Hebdo fait le buz. Repris sur la page d'accueil de Rue89, cette Une a largement circulé sur Twitter, réseau social principalement utilisé par les journalistes, geeks et travailleurs du web.
Peu de temps après, Rue89 s'intéresse encore à Oise Hebdo, cette fois à propos d'un article comportant une "auto-interview" du rédacteur suite à un accident de la circulation qu'il rapporte et dont il est témoin.
Dans les deux cas, Vincent Gérard, fondateur et éditeur du journal, a répondu et expliqué sa politique éditoriale très contestée par le biais des commentaires. Télérama lui consacre une interview à lire en ligne.
Petit clin d'oeil dans un des commentaires de l'article de Télérama : ne pas confondre morbide et macabre.
Que Télérama s'intéresse dans ces pages médias à un hebdo régional à la ligne éditoriale controversée, c'est étonnant mais finalement logique. En revanche, qu'un magazine féminin comme Grazia consacre trois pages à l'hebdo et son fondateur, c'est plus surprenant et inattendu.
Et maintenant voilà que L'Express s'y met aussi avec un article sur "le buzz" Oise Hebdo qui démarre par.. un micro-comptoir (comprendre un micro trottoir fait dans un bar, au comptoir). Vivement le reportage de Voici ou Gala sur cet hebdo pas tout à fait comme les autres.
Oise Hebdo, le journal qui tue
Par Natacha Czerwinski, publié le 15/10/2011 à 10:00
Ce journal local aux Unes comico-macabres fait le buzz bien au-delà de ses habituels lecteurs. Gros plan sur un phénomène.
Il ne traîne jamais très loin du zinc. Forcément, "les clients le réclament souvent". Et puis autant vous dire que le mercredi, jour de sortie, c'est pire. Les habitués de la Détente ont à peine passé la porte qu'ils haranguent le patron: "T'as pris Oise Hebdo?" Bien sûr qu'il l'a pris. Les troquets de Ribécourt maîtrisent leurs classiques. "On sait que, s'il s'est passé quelque chose dans le coin, ce sera dans Oise Hebdo", explique Régis, accoudé à une table du Rallye. Le canard colle tellement à la peau de son département que son nom est même passé dans le langage courant. "Les grandes gueules, lâche Magali, on les appelle les "Oise Hebdo"!"
Propulsé coqueluche du Net en quelques semaines
Unes racoleuses, approche saignante de l'actualité, contenu privilégiant les faits-divers...le journal use de toutes les ficelles voyeuristes du tabloïd.
DR
Institution locale à la réputation sulfureuse, ce journal à succès - 20 000 exemplaires vendus chaque semaine et deux étoiles décernées par l'OJD (1) en 2011, dont celle de la plus belle progression 2009-2010 de la presse hebdomadaire régionale - est en passe de devenir un phénomène national sans que ses concepteurs sachent vraiment expliquer pourquoi. Depuis quelques semaines, le titre, fondé en 1994 par un ancien journaliste du Figaro et dédié à l'Oise, rien qu'à l'Oise, s'est vu propulser coqueluche du Net. Merci Facebook? La fan page de l'hebdo, créée début août, rassemble près de 700 inconditionnels. Sur les réseaux sociaux, on se délecte de son style tout en finesse et de ses Unes croquignolettes où les cadavres s'empilent comme des cadeaux un soir de Noël. Avec ce petit plus qui fait la différence: les héros du jour sont nommément cités. Ce 7 septembre, il y avait ainsi un "Noyé à Noyon: le SDF Olivier Le Guen est arrivé au bout de sa longue dérive". Ou encore: "Jacques Hédin tue sa maîtresse octogénaire et se suicide", tandis que "La conseillère municipale Anne Camier se jette sous un train". Le tout, assorti de photos des malheureux. L'effet comico-macabre est redoutable. "Certaines semaines, ce fut l'hécatombe, reconnaît le rédacteur en chef, Philippe Bouvier. Mais nous ne traitons pas ces affaires de façon putassière ou cynique! D'ailleurs, les familles sont souvent heureuses de nous parler de leurs disparus."
"Ici, un charcutier est aussi connu que DSK..."
Tout de même, pourquoi cette identification systématique? "Je considère l'Oise comme une entité à part, avec ses vedettes locales", répond Vincent Gérard, directeur du journal. "Vu de l'extérieur, ça peut sembler ridicule, concède une journaliste. Mais, ici, un charcutier est aussi connu que DSK..."
Il n'empêche, cette approche saignante de l'actualité vaut au titre quelques affectueux sobriquets: "Oise ragot", "Oise crado"... "Le journal use des ficelles voyeuristes du tabloïd; ce n'est peut-être pas le modèle journalistique le plus vertueux, mais cela correspond à une certaine attente du public", analyse Rémy Le Champion, maître de conférences à l'Institut français de la presse (IFP).
Au menu de la conférence de rédaction, ce matin-là, à l'antenne de Compiègne: un cas de home jacking, des bisbilles entre élus et des portraits d'écolos. Car, si le cocktail faits-divers-politique constitue son fonds de commerce, Oise Hebdo paie également son tribut aux foires, brocantes et noces d'or. Tout en récusant l'étiquette "trash", l'équipe s'amuse du buzz qu'elle suscite. Quant à Vincent Gérard, il joue sa carte à fond: fin septembre, il a sorti une vraie-fausse Une où il reprenait les contes de Perrault sauce Oise Hebdo ("Rose Chaperon et sa grand-mère dévorées par un chien"). Les fans s'en sont léché les babines.
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/oise-hebdo-le-journal-qui-tue_1039862.html
Oise Hebdo possède son site internet, très rudimentaire puisqu'il ne présente que quelques infos utiles (coordonnées des trois rédactions) et les Unes des trois éditions. Un choix revendiqué par son éditeur Vincent Gérard.
Sur Twitter, le journal a ses afficionados qui chaque semaine diffuse le lien du journal vers ses Unes. Chacun y va de son commentaire et assure ainsi dans le microcosme des journalistes connectés une promotion à l'hebdo. Ceci explique certainement en partie le "buz" Oise hebdo qui sévit dans les rédactions parisiennes.
Les Unes sanglantes de Oise Hebdo privées d'internet
Par lenouvelobs
Le rédacteur en chef de l'hebdomadaire, lassé des moqueries provoquées par chaque nouvelle parution, ne les publiera plus sur le site.
L'hebdomadaire s'est fait une spécialité dans les faits divers macabres, largement relayés en Une. (c) AFP
Le site du journal "Oise Hebdo", au centre d'un buzz depuis plusieurs semaines pour ses Unes très portées sur les faits divers sanglants et tragiques, a renoncé mardi 18 octobre à les publier sur son site internet, selon son rédacteur en chef Vincent Gérard.
Le buzz autour de l'hebdomadaire et de ses couvertures est né sur Twitter, générant nombre de tweets moqueurs, avant que "Le Canard Enchaîné", suivi par de nombreux médias, journaux, radios et TV, ne s'empare du sujet.
"Ding, ding. La récré est finie. Les unes d'Oise Hebdo ne seront plus affichées sur le site", écrit Vincent Gérard dans un édito sur oisehebdo.com. "Oise Hebdo restera sur le papier. Dans son département. Cela évitera aux internautes et aux journalistes parisiens de se rendre ridicules à force de mélanger actualité locale et 'world news'", poursuit-il.
Mobilisation sur Facebook
Un groupe de fans Facebook, sur lequel de nombreuses Unes sont encore visibles, s'est immédiatement mobilisé pour demander aux lecteurs ayant accès à la version papier de scanner les différentes éditions de Oise Hebdo pour perpétuer ce plaisir coupable.
"Dans l'Oise, on ne se contente pas de mourir simplement comme dans le reste du monde", mais on y est "fauché", "volatilisé" ou "emporté", s'amuse par exemple l'un des internautes.
L'une des particularités de l'hebdomadaire est la publication presque systématique en première page du nom et du prénom des personnes concernées par ces faits divers, généralement accompagnés d'une photo. Vincent Gérard motive pourtant sa décision par le "droit à l'oubli" des victimes, que cette diffusion sur internet remettrait selon lui en question.
Le Nouvel Observateur - avec AFP
Las des moqueries, Oise Hebdo n'affichera plus ses Unes sur internet
Créé le 18-10-2011 à 22h05 - Mis à jour à 22h05
Las des moqueries des médias nationaux sur ses Unes tapageuses, pleines de morts tragiques ou rocambolesques, Oise Hebdo a décidé de ne plus afficher celles-ci sur son site internet, a annoncé mardi son rédacteur en chef, Vincent Gérard.
"Ding, ding. La récré est finie. Les unes d'Oise Hebdo ne seront plus affichées sur le site", écrit Vincent Gérard dans un édito sur oisehebdo.com.
"Oise Hebdo restera sur le papier. Dans son département. Cela évitera aux internautes et aux journalistes parisiens de se rendre ridicules à force de mélanger actualité locale et +world news+", poursuit-il.
Le buzz autour de l'hebdomadaire et de sa première page est né sur Twitter, générant nombre de tweets moqueurs, avant que Le Canard Enchaîné, suivi par de nombreux médias, journaux, radios et TV, ne s'empare du sujet.
Le journal possède même un groupe de fans sur Facebook où les commentaires relèvent notamment que "dans l'Oise, on ne se contente pas de mourir simplement comme dans le reste du monde", mais qu'on y est "fauché", "volatilisé" ou "emporté".
"C'est que l'Oise, ce n'est pas la France, ni le monde", continue Vincent Gérard. "Par le biais d'internet, et par les reprises amusées des uns et des autres, l'actualité de la communauté des gens de l'Oise a accédé à une notoriété universelle qui n'est pas dans l'objet du journal (...) Oise Hebdo restera réservé aux gens de l'Oise et à ceux qui achètent le journal".
Par ailleurs, assure le rédacteur en chef, "avec internet, l'information ne meurt jamais. En revanche, les personnes citées dans un journal, imprimé sur papier, acquièrent un certain droit à l'oubli (...) Comme je n'ai pas l'intention de poursuivre les gens pendant toute leur vie, je n'ai plus envie de les exposer sur internet".
Généralement accompagnés de photos, les titres en Une mentionnent presque à chaque fois le prénom et le nom des personnes concernées.
Les unes morbides de “Oise Hebdo"
http://www.telerama.fr/medias/les-unes-morbides-de-oise-hebdo,72748.php
Le 13 septembre 2011 à 19h00 - Mis à jour le 13 septembre 2011 à 19h24
Ces dernières semaines, “Le Canard Enchaîné” s'est largement moqué cet hebdomadaire local aux unes très trash. On a demandé des explications à Vincent Gérard, qui a fondé ce journal il y a 17 ans.
On vous dit « presse locale », vous imaginez infos de proximité, lien social, ouverture de la nouvelle maison de retraite et compte-rendu du match de foot des poussins ? Détrompez-vous : dans le journal hebdomadaire Oise Hebdo, « Martine V. craque et se pend après la mort de son chien », « Stéphane T., le sourd-muet au grand coeur, est fauché par deux voitures », « Jacques H. tue sa maîtresse octogénaire et se suicide » et « Eliane L. retrouve le curé Albert M. pendu à ce tilleul » (nous n'avons laissé que l'initiale du nom de famille, mais celui-ci est bien écrit en entier à chaque fois). Des unes aussi trash que celles du Nouveau Détective, dont la répétition a fini par amuser la France entière : ces dernières semaines, Le Canard Enchaîné a raillé à plusieurs reprises cette vision « riante » de l’info, tandis que les internautes ont fait tourner à l’envi ces couvertures morbides. Le directeur de l’hebdomadaire Vincent Gérard, ancien du Figaro qui a fondé le journal il y a 17 ans, défend sa ligne éditoriale. Sans sourciller.
Comment avez-vous réagi quand vous avez découvert que votre journal faisait le buzz?
Vincent Gérard : Je suis pour le dialogue, l'échange d'idées donc j'ai trouvé ça plutôt sympa, rigolo. Bien sûr j'ai senti qu'il y avait un peu de moquerie mais Le Canard dit en même temps que ça change des starlettes en bikini. C'est plutôt un compliment : enfin un journal local qui ne fait pas du futile ! Vous savez, je pense que les gens en France ont le même petit choc qu'ont eu les habitants de l'Oise quand j'ai lancé mon journal il y a dix-sept ans. Ils ne savaient pas qu'on pouvait faire un journal en province sur le modèle des journaux nationaux, en traitant de tous les sujets : politique, social, société, police, justice...
Vos unes n'illustrent pas vraiment cette diversité...
Mais vous voulez que je mette quoi en une? Le marché des fruits rouges de Noyon pour dire qu'il y a plu cette année? La 718e édition [en fait, la 763e édition, NDLR] de la fête du Bois Hourdy de Chambly ? Tout ça, on le traite dans le journal, mais en pages intérieures. Et vous avez le président, le conseiller général, le maire et ils disent que c'est très bien. Mais ce n'est pas ce qu'il y a de plus nouveau, de plus sensible, de plus délicat. Après, certaines semaines, effectivement, il y a beaucoup de décès. Mais je n'y peux rien, moi, si cette semaine le monsieur de soixante ans a tué sa maîtresse de 80 ans et s'est suicidé après !
Que répondez-vous aux accusations de sensationnalisme?
Ceux qui me font ce procès ne doivent pas beaucoup lire Le Monde ou Le Figaro. Parce que le jour où Mandela va mourir, ils vont en faire des tonnes et personne n'aura l'idée de le leur reprocher. Moi, je considère l’Oise comme une nation. Et Oise Hebdo comme un journal national. Le président du conseil général et le préfet sont mes chefs d’Etat. Parler de la mort du charcutier vice-président de la chambre des métiers, c’est comme couvrir le décès d’un bras droit de Madame Parisot.
Suite à cette « publicité », avez-vous remarqué un impact sur les ventes?
Absolument aucun. Les réactions se sont limitées à quelques clins d'oeil et SMS. Nous n'avons de toute façon rien changé. Si on se démarque, c'est parce qu'on fait notre travail de journaliste: on informe, on traite les sujets les plus intéressants, les plus difficiles, dans les limites du cadre de la loi bien sûr. En fait, on est les plus proches des gens.
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Lucas Armati
Le 13 septembre 2011 à 19h00 - Mis à jour le 13 septembre 2011 à 19h24
http://www.telerama.fr/medias/les-unes-morbides-de-oise-hebdo,72748.php
DECEMBRE 2011 : OISE HEBDO «FAIT LE BUZZ»
OISE HEBDO, vous connaissez ?!
L’hebdo qui sert de tête de gondole aux projets du maire de Verneuil fait gondoler la presse nationale par son ton et son esprit bien particulier ... lire ci-dessous